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Donnez nous votre avis concernant le livre de Pascal Parpaite.

Fruit de plusieurs années de recherches et d’un travail important de rédaction, "L'exploitation commerciale des Latécoère 631" a permis de recueillir de nombreux témoignages, et d'avoir des contacts avec des acteurs de cette période. Nous souhaitons recueillir de nouveaux souvenirs ou photographies.

Dans certains cas, nous avons mis également des documents à la disposition de descendants de témoins de cette période.

Nous souhaitons poursuivre ce partage d'informations.

Aussi, donnez-nous votre avis concernant cet ouvrage : memoireshydraviation@free.fr

Tous ces avis seront consultables sur ce blog

Le livre est terminé mais la collecte de documents continue.

La sortie du livre est aussi un moyen de se faire connaître et de rencontrer des gens.

Cela contribue à améliorer les connaissances de la vraie histoire, celle vue de l'intérieure et vécue par ses acteurs, à la différence de la vérité "officielle".

(Pascal Parpaite)

Beau boulot !

Petit bémol cependant que je m'explique pas, pourquoi certaines photos sont pixélisées ? dommage...

Sinon, c'est un beau pavé qui apporte beaucoup à la connaissance de la bête, notamment par tous les témoignages.

Il fallait avoir le courage de s'y attaquer et Pascal avec son réseau a réussi le challenge...

(Gérard Bousquet)

Remarque de l'auteur: il y a de nombreuses illustrations dans l'ouvrage; malheureusement quelques unes sont effectivement de qualité médiocre.

N'ayant pas d'autre cliché, leur intérêt documentaire a été prépondérant sur l'aspect esthétique.

Cet ouvrage est superbe et très documenté. Félicitations à tous ceux qui ont collaboré de près ou de loin à cet ouvrage magnifique ! Merci à Mémoires de l'Hydraviation pour ce beau cadeau ! (Hubert Fabre)

J’ai reçu ce matin le livre. J’ai jeté un œil c ‘est magnifique !

Bravo et merci.

(Gilles Laurent)

Grand merci pour cet énorme travail.

Harriet Giraud s’est, grâce à vous, rapprochée de son père (Henri Cabanes décédé à bord du F-BDRC) qu’elle aurait tant aimé connaître.

(Dominique Gavalda)

Quel cadeau ! je devrais pouvoir partir en vacances lundi …je l’emporte pour m’y plonger avec délectation.

Bravo à l’auteur,

Sacré travail !

(Daphné Desrosiers)

J'ai reçu cet énorme travail pour lequel Pascal peut être fier.

Superbe !

(Jean-Luc Charles)

Splendide sur tous les plans !! Il n'y a pas d'autre mot pour qualifier ce bouquin.

Félicitations à l'auteur et à ses collaborateurs,

(J. A. Philippe)

Je parcoure le livre de Mr Pascal Parpaite. Je me répète quel travail il a fait mais quelle satisfaction !

Je voudrais avoir son talent pour terminer mon livre

(Albert Leblanc)

Je viens de recevoir ce superbe livre,

un grand merci, je vais avoir de quoi me régaler pendant quelques temps

(Claude Vidal)

Je me délecte avec le livre de Pascal Parpaite !!!

Ce livre constitue un superbe morceau du patrimoine de l’aviation civil, une véritable oeuvre d’art, une anthologie de l’histoire de l’hydravion. Au delà du contenu aussi bien détaillé, la mise en page est un véritable bijou qui a du représenter beaucoup de travail.

Un grand merci à Pascal Parpaite.

Je m’y replonge régulièrement pour que le plaisir dure plus longtemps.

(Jean-Luc Merson)

Le livre sur le Laté 631 m'a l'air réussi et bien illustré

(Robert Feuilloy)

Je me suis lancé dans la lecture de cet ouvrage passionnant et me régale.

Votre patience est maintenant récompensée car le résultat est un bel ouvrage, bien documenté et original : Bravo!

(Jean-François Monier)

Magnifique ouvrage !

Bravo à Pascal Parpaite et aux auteurs pour leur travail !

Tout y figure : histoire, dessins, photos,documents et témoignages des consructeurs,

pilotes, mécaniciens, techniciens et passagers...

Une perle rare pour le collier d'ouvrages historiques que nous offre la DGAC grâce au dynamisme de sa Commission Mémoire.

(Francis Zammith)

Quel ouvrage magnifique et quel résultat de tant de recherches!

il va occuper une place privilégiée dans ma grande bibliothèque, après l’avoir lu et partagé bien sûr.

(Gérard Martin)

Bel ouvrage !

Félicitations à Pascal Parpaite et à toute l'équipe

(Laure Guisset)

WAAOUHHHH ........

je vais le déguster sous les platanes, merci !

(Jean-Claude Blaquière)

Magnifique ouvrage !

(Melle Munoz)

En feuilletant ce beau livre on ressent la passion de ceux qui ont contribué à la réalisation de cet ouvrage, on ne peut parler de travail cela va bien au delà.

Il me faudra un peu de temps pour tout lire mais je m'en réjouis à l'avance.

(Claude Papon)

Quel travail .!..

J'avais vu la maquette du livre, mais je réalise l'immense travail de fourmi que tu as réalisé.

Je ne peux qu'adresser mes félicitations émerveillées.

Je vais prendre le temps de le lire, car le feuilletant, j'ai trouvé l'envie du détail.

Encore bravo !

(Paul Leparoux)

Je vous remercie bien vivement pour le don de l’ouvrage de Pascal Parpaite « L’exploitation commerciale des Latécoère 631 » que j’ai enregistré à la bibliothèque du musée de La Poste en tant que don de l’Association « Mémoires de l’hydraviation ».

Ce livre fort documenté et bien illustré est sans nul doute une référence pour les personnes intéressées par le sujet et la lecture en est agréable.

(Laure Fabre Bibliothécaire Musée de La Poste)

C'est un bel ouvrage !

Mon père apparaît sur une photo de "présentation au ministre Tillon en 1945"à côté de son copain Bouchard.

Je me souviens d'une histoire racontée par mon père où l'équipage a réussi à ramener le prototype n ° 2 (F-BANT) à très basse altitude au-dessus des Landes avec plusieurs moteurs en feu.

Mon père avait équipé de nombreux hydravions (entre autres aéronefs), en phase prototype, pour le compte de la SGE (Labinal plus tard), dont le fondateur était Pierre Comte.

Les constructeurs de cellules sous-traitaient cette activité. Il arrêta sa carrière aéronautique en 1947 après l'épisode sur le 631, heureux d'être encore vivant.

Mon père était un personnage très chanceux… Donc il a survécu

Le travail de mémoire de Mr Parpaite est impressionnant . Vous pouvez ajouter mes félicitations à celles qu'il n'a pas certainement pas manqué de recevoir.

Alors après avoir lu la phase de gestation des premiers appareils ( 01-02) j'ai remis le nez dans les archives de mon père .

L'épopée du 631 correspond à l'arrêt de sa carrière à l'âge de 43 ans après avoir équipé une bonne cinquantaine de protos ( pour le compte de la SGE) et accumulé 6104 h de vols correspondant (dont 2013 de nuit) ; pour situer sa carrière.

Pour le 631 il a peu volé sur n° 01 ( en décembre 1942 et décembre 43) ; en revanche il a volé prés de 250 h sur le n° 02 du 6 mars 1945 au 1 mars 1947 .

J'ai terminé (ou presque , il me reste à la lecture du dernier chapitre sur l'après France-Hydro) de votre ouvrage tard cette nuit . Comme je ne suis pas un couche tard , c'est dire …

L'expertise sur le F-BDRE m'a beaucoup intéressé . J'ai commencé ma carrière en structure à Sud-Aviation et mes "chefs" de cette époque étaient des aéro-elasticiens . Mes connaissances sur ce sujet sont plutôt limitées . En revanche j'étais un "spécialiste" de fatigue des structures( entre autres expertises) .

Je réitère ici mon admiration sur votre énorme travail . En plus , c'est bien écrit ,ce qui ne gâche rien .

(Alain Ferran)

Ce livre sur les hydravions me plait énormement

(Roger Sroussi)

Merci pour ce livre bien instructif.

Quel travail ! Chapeau à son auteur !

(René Coste)

Je vais me pencher sur cet ouvrage à priori riche et bien renseigné.

(Jean-Louis Delattre)

Un grand bravo à tous ceux qui on contribué à la réalisation de ce document si bien documenté et si bien présenté.

Pour le moment je ne l'ai que "parcouru" et je vais me réserver du temps pour le lire de A à Z.

Ce livre bien évidemment a ravivé en moi bien des souvenirs de la carrière aéronautique de mon père qui dans la première partie (1924-1948) de son activité professionnelle a été mécano sur les lignes Latécoère puis celles de l'Aéropostale puis d'Air France avec divers ports d'attache (Alicante, Oran et Alger) et qui a dépanné diverses catégories d'hydravion : des Laté (21, 23, 32), des Bréguet, des Lioré et Olivier et des CAMS. Mon père aurait adoré lire ce livre sur les Laté 631.

Un très beau document pour une formidable épopée et de belles aventures humaines.

(Pierre Chaillot)

Bravo pour la présentation du livre, avec bien sûr l'indispensable liste de production

(Philippe Jung)

Le bouquin sur l'hydraviation !

(Michel Ruby)

Ce livre est formidable!

J’ai du mal à imaginer l’énergie, la patience qu’il a fallu pour le réaliser.

(H.G. Baudry)

Je viens de recevoir ce magnifique ouvrage sur le Late 631 et je vous en remercie.

Il y a beaucoup de passionnés de cet hydravion et j'ai créé un groupe sur facebook.

Avec tous les remerciements et toutes mes félicitations à l'auteur.

(Marie Vincente Latécoère)

Je découvre l’activité aéronautique civile de Biscarrosse des années 1938/1945.

Le livre est très intéressant.

(Claude Moreaux)

Le livre est excellent !

(Olivier Ripoche)

Passionnant !

(Cyrille Chaisy)

Je n'ai eu pour l'instant que le temps de "survoler" ce livre mais ma première impression confirme que le travail de recherche et de rédaction, a l'air remarquablement complet et fouillé.

(Bertrand Brown)

Un grand merci à vous pour cet ouvrage que j’ai commencé à lire avec intérêt.

Je suis impressionné par la riche documentation que l’on découvre à la lecture de votre livre.

Je vais être infaillible sur le Laté 631 !!!

(Fabien Lainé, maire de Sanguinet)

Ce livre est une grande réussite et remarquable.

Merci merci Pascal vous avez réalise un magnifique travail!

Enfin le génie des hommes ,leur courage sont dans la lumière !

(Léon Koenig)

Wow!! What a terrific book !.

It looks really great although I have yet to study it closely (my lack of French will make this a challenge!). You have to be congratulated on a great book - well done.!

(David Legg, "The Catalina News")

Ma mère est très contente de la référence par le nom, les photos, le texte, à mon père (chef bureau Véritas de Douala à l'époque de l'accident du F-BDRE)

(Hubert Huguenot)

Mon fils Bertrand est tombé raide dingue de ton livre!

Il a été époustouflé par le travail minutieux que ça représente, la classification bien ordonnée, la présentation bien aérée pour ne pas lasser le lecteur enfin en deux mots il veut (avoir aussi) ce chef d'œuvre.

(Nicole Le Morvan)

Excellent livre sur le Laté 631.

C’est un ouvrage remarquable et exhaustif par sa présentation, son texte et son iconographie.

Il est d’une qualité exceptionnelle.

(Pierre Jarrige)

Merci beaucoup pour cet ouvrage magnifique.

J’ai beaucoup apprécie tout ce que vous m’avez appris sur l’hydraviation.

(Alice-Anne Médard)

Je viens vous remercier pour votre envoi de votre livre sur les Laté 631 et sur la vie de mon papa (Louis Demouveaux) et aussi sur mon grand-père paternel.

Je vous remercie de tout mon cœur

Je vous suis très reconnaissante pour votre beau livre, sur le parcours des Laté et sur mon papa, çà été pour moi un grand bonheur

PS : Pour l’accident de mon papa et son équipage, je croyais qu’ils étaient tombés dans une bourrasque et soi-disant que c’est comme cela que l’avion a explosé en l’air.

(Christiane Charrut)

Je dois avouer avoir été heureusement surpris par l’ensemble du travail, bien structuré, aux chapitres bien classés. Le seul bémol est réservé aux images quelquefois trop petites à mon goût.

L’ensemble est plaisant, relativement facile à lire et son découpage à chacun de choisir ce qu’il veut lire en premier.

Il y a loin du projet que vous m’aviez fait parvenir il y a quelques années et ce travail mérite de rester en bibliothèque.

Il me semble que je devais vous faire part de mon intérêt à lire cet ouvrage, n’ayant pas à l’époque ménagé mes critiques.

En bref, c’est un bon ouvrage, félicitations !

(Vital Ferry)

Mille fois merci au nom de l’association des amis du Musée de Biscarrosse pour le magnifique livre que tu viens d’éditer.

Félicitations à titre personnel pour la tenue de haute qualité de ton ouvrage.

(Jacques Lauray)

Passionnant !

(Cyrille Chaisy)

Ce livre est superbe !

(Charles Schmitt)

Super travail et super documentation sur cette aventure de l'aviation dont une partie s'est déroulée dans le ciel landais.

(Jean Michel Mormone)

Avec ce livre mon petit-fils était très content d’en savoir plus sur la vie de son arrière grand-oncle Louis Demouveaux pilote du Latécoère 631.

(Gilbert Graveron)

Merci pour ce magnifique ouvrage et félicitations pour le travail de longue durée que vous avez poursuivi avec ténacité pour le réaliser.

J’y retrouve beaucoup d’acteurs que j’ai pu rencontrer durant mon long parcours à la DGAC. Egalement beaucoup d’événement repris avec beaucoup de détails et le rappel du survol de Paris du "Lionel de Marmier" que j’ai pu apercevoir depuis la cours du lycée où je me trouvais à l’époque.

(Paul Angelini)

Cet ouvrage a dû vous prendre énormément de temps.

C'est superbe d'avoir retracé toute cette passion et de nous en faire profiter.

(René Greslon)

Ce livre me ramène à mon séjour à Biscarrosse. Une époque passionnante bien que trop brève !

(Jacques Martin)

L'histoite des Laté 631 sera ma lecture de l'été

(Paul Mathevet)

Beau volume sur le Latécoère-631

(Philippe Martin Granel)

Félicitation, ce livre est passionnant, fort bien fait, et les souvenirs de George Rollin sont savoureux....

(Didier Campion)

Je vous remercie de m’avoir fait parvenir le livre sur l’exploitation commerciale des Latécoère 631

En effet avec mon frère, nous avons vécu à la Martinique avec nos parents à cette période (père responsable de l'organisation des vols.pour Air France à Fort de France).

Malheureusement mes souvenirs sont diffus. Je vais essayer d’en rassembler quelques-uns et de vous les faire parvenir

J’ai été très touchée de reconnaître mon père sur une de vos photos.

(Mme Rabier)

Merci pour le fabuleux bouquin; que dis-je extraordinaire !

Les quelques petites erreurs d’orthographe ou de légendes des photos ne sont pas graves face à cette équipée magnifique qui nous a tenu en haleine pendant quelques unes de nos jeunes années ! Merci encore.

(Roger Le Devic)

Anecdotes :

1)- La hantise de Louis Demouveaux était d’éviter de « cogner » un hippopotame à l’amerrissage. Si au décollage le bruit du point fixe et les « pleins pôts » de l’arraché éloignait les plus curieux, à l’amerrissage il en était différemment et ils ne plongeaient qu’à la dernière minute. Je patrouillais parfois avec le canot « Couach » pour les éloigner.

Lors du premier séjour l’un d’entre eux était « tombé amoureux » de la bouée (l’amour est aveugle !) or cela gênait beaucoup la manœuvre ; cet amour lui fut fatal car Demouveaux me demanda de l’éloigner définitivement ce qui fut fait (3 tonnes ½ de viande sans les tripes !) .

2)- Demouveaux, devant un soir se poser sur le lac, me demanda de baliser l’axe avec un Sauver de la Cotonfran (mon véhicule personnel) ; je me mis donc plein phares sur la colline de Fouli Léré (Lerré Foubbé) attendant la catastrophe qui n’eut pas lieu heureusement… On balise comme on peut !

3)- Il existe une photo de Basque posant devant un palmier – doum ou sur une pancarte, façon ville française (bleue et blanche), il était écrit « avenue du pionnier Basque ».

4)- A ce sujet : lors d’une manœuvre visant à mettre la porte de chargement côté terre pour simplifier la manœuvre de chargement 30 ou 40 « nègres » tiraient sur une élingue pour amener le Laté dans le bon sens, le « Kapita » chargé de diriger le tractage manuel contre le vent vint vers Basque pour lui dire « Komada la corde s’est cassée ! » et basque excédé par la lenteur du travail lui répondit « tirez quand même !»

Def : Kapiata = la tête (chef d’équipe)

Komada = commandant (celui qui commande).

(Roger Le Devic )

Un grand merci pour les nouvelles informations que vous venez de me communiquer. cela va sans doute me permettre d"acquérir de nouveaux ouvrages très spécialisés qui, souvent ne sont pas diffusés dan le réseau commercial. Je trouve dans ces livres une multitude de renseignements qui ne figurent pas dans les ouvrages de vulgarisation. D'autre part l'achat de ces livres est un encouragement pour les auteurs et ils le méritent bien vu le travail colossal que représente la publication de ce type d'ouvrage.

Je viens de recevoir aujourd'hui l'ouvrage de Pascal Parpaite. Le résultat dépasse toutes mes espérances : iconographie, mise en page, classement, rien à redire, tout est parfait et attrayant. De bons moments de découvertes en perspective.

(Jean-Claude Huteau)

J’ai reçu hier soir un appel téléphonique de mon ami Eddie Edouard de Fort-de-France me disant qu’il venait de recevoir le livre; qu’il était stupéfait par le travail que vous aviez fait et qu’il a apprécié.

(Albert Leblanc)

L'ouvrage est vraiment venu combler un vide.

(Pierre Lauroua)

Livre magnifique, je suis impressionné,

Mille mercis !

(Gilles Collaveri)

Passionnant. très belle réalisation, entre autre graphique quand on le feuillette

(Yves Meusberger).

Superbe ! Beau pavé !

(Laurent Bailleul)

Remarquable travail en profondeur sur l’exploitation du malchanceux Laté 631, parfaitement documenté et bien rédigé.

On se plairait même à espérer un complément du “même tonneau” sur l’étude et la conception avant sa mise en service si les archives de la SILAT l’autorisaient.

Réellement du bon travail... Il fallait le faire!

(Jean Robert)

C'est un bel ouvrage, lorsque je vois le nombre d'illustrations, il y a une sacrée recherche derrière.

Je félicite les concepteurs du livre.

(Sébastien Bocé)

Magnifique ouvrage !

(Daniel Dalby)

J'apprécie les documents présentés, ainsi que les précisions sur les problèmes rencontrés. Ils sont sommairement décrits dans les revues spécialisées avec parfois des conclusions hâtives. Ne peut-on rapprocher les problèmes de qualité de la métallurgie employée avec ceux rencontrés par Mermoz avec le Laté 301 ?

(Armand Agababian)

Très bel ouvrage que je feuillette avec grand plaisir tant les documents qui y sont, sont riches et intéressants.

(Philippe Lartigue)

Je me suis un peu plus attardé sur certains passages.

Pour info :

Savez-vous que Louis Demouveaux avait eu l’intention d’effectuer des vols entre Ouagadougou et la métropole ou la basse-côte, avec des chargements de viande et de coton ?

Mon père, agent des Travaux Publics, responsable du parc d’engins et de la station électrique, l’avait rencontré alors. Cela a dû se passer bien sûr entre 1953 et 1955, alors que j’étais en Indochine. Mon Père m’a raconté l’affaire lors du congé passé chez mes parents à mon retour .

Le pilote voulait alors voir s’il était possible d’utiliser les 3 plans d’eau et n’en faire qu’un , pour permettre l’amerrissage et le décollage du Laté.

Pour ceux qui ne connaissent pas Ouagadougou, la ville est ceinturée au nord, par 3 barrages de retenue d’eau de pluie qui se déversent les uns dans les autres. C’était dans les années 50 la seule ressource en eau de la ville.

Chaque retenue est une digue en terre munie d’un déversoir cimenté permettant d’évacuer l’eau vers la retenue inférieure, la dernière permettant, en aval, la constitution d’un petit parc forestier baptisé pompeusement “Bois de Boulogne”. Chaque digue constitue en outre , une voie routière pour l’accès vers le nord du territoire de la Haute Volta d’alors. La totalité des 3 plans d’eau devait avoisiner les 3 km selon mes souvenirs.

Problèmes : la profondeur de chaque retenue n’était que de 1 à 2 m au plus profond, profondeur qui diminuait, la saison des pluies passée ; la région constituant un plateau, la différence de niveaux de part et d’autre d’une digue était bien, malgré tout de 1,5 à 2 m, d’où nécessité d’en réhausser au moins deux ; la suppression des déversoirs aux niveaux présents, l’étalement des eaux auraient obligé la création d’une digue de ceinture du plan d’eau pour protéger les quartiers proches au sud, et éviter une plus grande perte par évaporation et par infiltration,vers le nord. Si la réalisation n’était pas impossible, les énormes travaux de terrassement auraient été longs et les crédits de réalisation sans doute inaccessibles au Territoire...Le renoncement était inévitable !

Mon père , très intéressé par l’aviation , a dû lui-même le regretter. C’est lui qui à construit , un peu plus tard, les pistes de l’aérodrome.

Pour moi c’est un excellent bouquin , rappels de l’aviation d’alors.

(Michel Marani)

Travail d'une qualité remarquable et je présume que ce n'est qu'un début.... (Corinne de Checchi)

Beaucoup d'informations, beau travail !

(Jean-Michel Thomas)

Je me régale a chaque fois que je trouve un peu de temps pour le parcourir.

Merci encore pour tout votre travail pour préserver l'histoire de l'hydraviation.

Pascal Parpaite's book on the magnificent Latecoere 631 is a must-have for any flying boat enthusiast. The book is very thorough, with never-before published photos, documents and testimonies. It provides unique and very detailed historical information about the various operators of the type, the seaplane bases that were used, and all the actors that played a role in its development and career. If you want a comprehensive account of the most beautiful long-range flying boat produced by France, this book will be a delight and a great reference tool. Thank you, Pascal, for your hard work on this!

(Laurent Trabadello Canada)

C’est un travail formidable et très fouillé avec de nombreuses photos et documents.

Dommage qu’il y est de nombreuses coquilles et fautes de frappe.

(Michel Gonzales)

Il est superbe et je sens que je vais me régaler en le lisant.

Merci à tous ceux qui rendent ce genre de publication possible

(Jean-Christophe Canonici)...

Parpaite's magnificent book on the Commercial Exploitation of the Latécoère 631 !

I had a quick browse through the contents - the photographs are marvellous -

I will be spending a lot of time over the next few days absorbing the history of a most beautiful aircraft.

(Ray Watkins Australia)

Superbe bouquin, encyclopédie du Latécoère 631 qui m’a bluffé par la somme de choses que l’on y trouve et qui représente tant d’années de recherches ! Il est extrêmement intéressant et je trouve dommage qu’il ne soit pas accessible au grand public

(Christian Andron)

Livre de référence impressionnant et de plus magnifiquement illustré Merci et bravo pour cette réalisation.

(Bernard Pourchet)

Le travail de recherches que vous avez mené, année après année, a abouti à un ouvrage pointu qu’il sera certainement difficile d’améliorer.

(Jean-Pierre Dussurget)

Je vous adresse mes plus vifs remerciements. Je suis très impressionné par la richesse de la documentation que vous avez réussi à rassembler et analyser. Pour notre famille, c'est une grande émotion de découvrir qu'il restera dans la mémoire des gens de l'aviation commerciale une trace de l'action de notre père Louis Rougier.

Encore un grand merci et félicitation pour votre livre.

(Pierre Rougier)

C’est un beau travail et j’apprécie déjà la grande documentation,

Il me reste maintenant à le lire !

(Gabriel Fauchard)

Quel travail ! Remarquable. Toutes mes félicitations à l'auteur.

(Alain Bergeaud)

Très bel ouvrage et très bien documenté . Toutes mes félicitations.

(Frédéric Gravier)

Il y a foule d'informations sur les hydrobases exploitées, ce qui me permettra d'enrichir l’environnement du Laté dans le simulateur...

(René Depeint)

Magnifique ouvrage !

(Jean-Pierre Schmitt)

Vous nous avez adressé : "L'exploitation commerciale des Latécoère 631". Nous vous remercions pour ce don, que nous allons intégrer à nos collections.

(Bénédicte Marty Conservatoire National des Arts et Métiers)

Tout simplement superbe !

(Nicolas Lopata)

C'est une merveille que cet ouvrage, je l'ai juste "parcouru" pour le moment.

C'est une merveille, je le répète peut être et vous remercie encore.

(Henry Foucard)

Livre magnifique qui donne beaucoup de détails sur l'appareil. mais aussi livre magnifique pour revivre la vie autour de ce "paquebot du ciel".

Pour avoir recherché de la documentation sur cet appareil, quelle somme de travail ! (Benoit Georgelin)

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Pascal ton livre est superbe et à sa lecture j'en ai appris beaucoup sur l'épopée des hydravions de la base mythique de Biscarrosse... Ce livre mérite une large diffusion et j'espère qu'un public plus large que les seuls passionnés pourra y avoir accés tant sa lecture est agréable. En tous cas il trône dans la blibliothéque d'AQUITAINE HYDRAVIONS à Biscarrosse. Une pensée émue pour mon ami Léon Koenig qui m'a fait l'honneur d'une intervention remarquable et pleine d'émotion lors de l'inauguration du hangar Pierre-Georges LATECOERE en septembre dernier, date du 60 eme anniversaire du dernier vol du Laté 631.

(Derry Grégoire)

J'ai bien reçu cet impressionnant ouvrage. Merci beaucoup.

L'éclairage sous lequel a été abordé le sujet m'a un peu dérouté au début, mais c'est du joli travail.

(Philippe Ricco)

Cet ouvrage est remarquable de par la qualité de ses recherches historiques iconographiques qui retrace les belles années de ce géant d hydravion ..... Passionnant

Félicitations à l auteur

(Dominique Fabre Guerin)

Je me régale à la lecture de ton bouquin et je te remercie au nom de l'ANAFACEM-Aquitaine et de LMBC.

(Jean-Loup Mommessin)

L’hydravion géant hexamoteur Laté 631 n’a pas toujours beaucoup préoccupé les historiens de l’aviation.

Les spotters chenus d’aujourd’hui ont pour la plupart découvert, alors fort jeunes, ce mastodonte dans le tout début d’une revue appelée à devenir une référence au fil des années, le « Fanavia ». C’était vers 1969 sous la plume d’un certain … Jean Delmas. Ensuite, peu de choses, hormis le Docavia magistral de Gérard Bousquet, qui l’incluait dans ses Paquebots volants sous une formulation pertinente : « le géant persécuté ».

Mais les amateurs seront comblés avec la sortie du livre de Laurent Parpaite. Le rédacteur de ces lignes ne connaissant pas cet auteur peut donc user de superlatifs sans être taxé de copinage. Et dire simplement que la quantité d’informations et de documents accumulée dans l’ouvrage est tout simplement époustouflante. Il est toujours facile d’écrire qu’il s’agit probablement du livre définitif sur le sujet. Et c’est pourtant sûrement le cas, avec une abondance de photographies qui est exceptionnelle. Que dire encore ? Que l’ouvrage, sous-titré « Hydrobases et plans d’eau utilisés » offre aussi au lecteur de solides études sur l’infrastructure d’une époque révolue, qu’on y parle (un peu) de l’usage du Catalina aux Antilles, que les acteurs de cette histoire aérienne ne sont pas oubliés, que l’illustration, plans et coupures de presse d’époque, notamment, est remarquable ?

(Jean-Pierre Dubois)

J'ai bien reçu votre envoi ("L'Exploitation commerciale des Latécoère-631"je le présenterai à la section d'histoire, lettres et arts de l'Académie de l'Air et de l'Espace à notre prochaine réunion.

(Lucien Robineau)

Cet ouvrage sera intégré dans les collections des Archives départementales des Bouches du Rhône et mis à la disposition du public.

(Marie-Claire Pontier)

Je n'ai pas encore eu le temps de le lire en totalité et je suis impressionné par la somme de renseignements, d'illustrations, d'anecdotes, de témoignages qui y sont rassemblés., le tout avec une mise en page agréable.

Un grand bravo à Pascal Parpaite et à toute l'équipe qui a contribué à cette belle réalisation.

(Gérard Collot)

Je tiens à vous remercie pour l’envoi de l’ouvrage passionnant de Pascal Parpaite destiné au centre de documentation du musée Aéroscopia de Toulouse.

Quel travail ! A la fois très documenté et magnifiquement illustré, ce livre nous replonge avec beaucoup d’émotions dans le passé d’un avion que nous aurions rêvé de connaître…

(Fabienne Peris-Raimbault)

J'ai commencé de feuilleter en l’admirant le magnifique ouvrage de Pascal Parpaite que la DGAC, ce qui est tout à son véritable honneur, a bien voulu éditer.

Quelle « SOMME » unique, plus que rare, et absolument irremplaçable que ce travail exceptionnel sur une très grande et très belle période de l’histoire aéronautique française!

A la fois, « Bible », « Évangile » et « Encyclopédie », il percute tous les plafonds de notre bibliothèque aéronautique.

On imagine à peine la quantité de jours et d’années qu’il a dû falloir passer au sol pour reconstituer d’une manière aussi complète qu’inédite et attrayante, les plus riches heures de vol de cette aviation prodigieuse qui nous a précédé et qui a malheureusement disparu aujourd’hui…

Certes son histoire n’est pas que grandiose, elle est triste aussi, comme toutes les vraies histoires, mais que d’émerveillement devant tous ces exploits humains, techniques, géographiques, politiques, financiers etc…Et que d’admiration aussi, même pour ces échecs glorieux!

L’ouvrage rend merveilleusement compte, textes, photos uniques et documents improbables, d’une épopée à la gloire de notre pays. Outre les pages « atlantiques » des vrais héros des Landes,déjà historiques à elles seules, les récits africains, des aventures heureuses de Léré à la fin dramatique de Sambolabo viennent compléter à merveille ce nouveau « MUSÉE » de l’hydraviation qui mérite vraiment d’occuper la première place sur le podium de notre Aviation Civile.

(Gérard David)

Le livre est vraiment magnifique, richement illustré

(Louis Basseres)

Je n'ai pas encore fini le livre, mais j'ai beaucoup apprécié ce que j'ai pu lire jusqu'ici

(Bertrand Brown)

Du sacré boulot de pro.

Une masse d’information, des clichés rarissimes. On voit que Parpaite n’a pas mégoté. Ça change agréablement des trucs “exhaustifs” et “définitifs” dont les auteurs, historiens auto-proclamés, citent Wikipedia comme source de renseignements !

Des remarques ? oui, deux mais qui ne changent rien à la qualité du bouquin.

- La présentation, mais ce n’est qu’une histoire de gouts et de couleurs, on ne peut pas plaire à tout le monde et à son frère.

- Je pense qu’il aurait fallut rajouter une mini-biographie des acteurs principaux, surtout les pilotes (Prévost, Kersual, Creton, Demouveaux, Seguin, Kerlan au parcours exceptionnel de chasseur pendant la guerre).

Mais, bon, et comme disait l’autre, la critique est aisé, etc.

En tout cas mes sincères félicitations à l’auteur.

(Lucien Morareau)

Je salue le travail remarquable de recherche d'archives réalisé et y voit la patte de Pascal Parpaite, i déjà parcouru avec énormément de plaisir.

Biscarrosse continue d'être régulièrement le lieu de rassemblements d'hydravions et commémore cette base des Hourtiquets.

Cela me rappelle de bons souvenirs avec Pascal qui m'y a fat partager sa passion.

(Thierry Lempereur)

Un grand merci pour le livre

(Jean-Baptiste Tony)

J’ai reçu ton superbe ouvrage,

Lecture passionnante à plus d’un titre, notamment quand je lis qu’à l’époqur on montait des moteurs des surplus américains sans papiers et à la demande de l’Etat Français !

A l’époque l’Etat voulait aller plus vite que les industriels (essais faits rapidement, modifications vitales reportées…),les pilotes se lançaient un peu à l’aventure (incompétence du pilote manifeste lors de l’accident du vol du Havre vers Biscarrosse sous la neige).

En tout cas Merci encore pour ce superbe livre dont le montage est particulièrement réussi (photos, couleurs, texte). Un chef d’œuvre !

(Jean-Luc Emanuely)

Félicitation aux auteurs de ce très bel ouvrage qui fait revivre une si belle aventure aéronautique. Une de plus mais si peu connue, sauf de quelques spécialistes.

Une histoire qui se situe dans le contexte politique très particulier de l'époque pour notre pays.

Une histoire d'une France, aventurière, enthousiaste, innovante, conquérante.

Et aussi une France qui oublie, peut-être un peu trop, certaines réalités économiques, comme ce sera le cas pour d'autres aventures aéronautiques plus tard comme celle du Concorde et peut-être aussi celle de l'Airbus A 380...

Bref, la France de toujours, celle qu'on aime...

(Philippe Jaquard)

Votre livre est très intéressant et agréable à consulter.

Mon mari l'a trouvé très bien documenté

(Françoise Reynier)

J'ai bien reçu votre livre et parcouru, ça à l'air d'être une sacrée pépite !!

(Richard Camoin)

Vous nous avez récemment confié cet ouvrage à Espace Air Passion Angers.

Pas particulièrement intéressé par ce pan d’histoire de notre aviation, j’ai littéralement “dévoré” cet ouvrage passionnant, extrêmement bien documenté et composé.

Qu’elle passionnante aventure presque ignorée !

Vraiment BRAVO !

Nous savons le travail que représente un tel ouvrage!

(François Blondeau, Président du Musée Régional de l'Air G.P.P.A.)

Quel travail pour réunir tant d'infos précises !

Bravo...bravo à lui et ceux qui l'ont aidé.

(Claude Moreaux)

Je viens juste de parcourir le livre.

La richesse des documents ainsi que leur présentation sont d'une grande qualité.

Elles donnent vraiment l'envie de se plonger dans l'aventure du Laté 631. Merci à l'auteur et à tous les contributeurs de cet ouvrage.

(Patrick Salaün)

Apres consultation rapide, quel monument !

(P.atrick Perrin)

Un monument ! Rarement lu autant de détails et de précisions !

Lecture passionnante ! Félicitations à toute l'équipe pour ce travail exceptionnel.

(Christian Puiboube)

Livre d’une grande qualité, de par sa présentation et la richesse des photos, et documents, ainsi que de la pertinence des textes.

Félicitations et remerciements à l’auteur et ses amis, pour nous faire partager le fruit de leur travail sur les Latécoère 631, certainement après de très longues heures de recherches.

(Gérard Faure)

J ai pu constater le trevail de recherche enorme et la precision avec laquelle Pascal Parpaite a décrit les moments qui ont suivi l accident de mon père. J en avais la chair de poule !!!!

(Françoise Kersual)

Votre livre sur le Laté 631 m’a passionné.

(Philippe Martin – Granel)

Je vous adresse mes plus vifs remerciements.

Je suis très impressionné par la richesse de la documentation que vous avez réussi à rassembler et analyser.

Pour notre famille, c'est une grande émotion de découvrir qu'il restera dans la mémoire des gens de l'aviation commerciale une trace de l'action de notre père Louis Rougier.

(Pierre Rougier)

Bravo pour la phénoménale documentation recueillie pour la rédaction et l’illustration du livre ainsi que pour le style très agréable : « ça se lit comme un roman ».L’histoire des hommes, ceux qui se sont battus pour la survie de la machine et ceux qui ont fait le contraire est bien relatée et donne du piquant à la lecture.Bravo et merci à tous ceux qui ont participé à la naissance de ce beau document.

(Jean-Claude Robin)

Première impression: ENORME, dans tous les sens du terme! Pas question de le lire au lit !

Je ne manquerai pas d' exprimer mon avis,quand je l'aurai tout parcouru, mais d'ores et déjà les quelques sections lues au hasard m'ont séduit; ce livre était nécessaire pour découvrir et comprendre le triste destin de cette superbe machine.

Félicitations à tous ceux qui l'ont rendu possible.

(Raymond Magnani)

Ce livre semble magnifique et très riche d'informations.
Je crois que je vais avoir énormément de plaisir à le lire !

(Frédéric  Michellan)

J’ai eu beaucoup de plaisir à découvrir l’histoire très documentée de cet hydravion mythique qu’était le Laté 631 et ce malgré les drames qui ont marqué sa courte vie.

Ce qui m’a plu c’est aussi l’histoire des hommes, au travers des lettres, rapports, et qui ont connu piloté, entretenu et participé à son courte exploitation commerciale depuis le site de Biscarrosse.

Bravo à l’auteur pour ce gros travail de mémoire et aussi aux nombreux témoins et participants.

(Gabriel Fauchard)

Voici un monument consacré au plus gros hydravion en service au monde, lorsqu'il fut mis en exploitation par Air France en 1947.....

Ce livre est donc un monument parce que rares sont les ouvrages aussi fouillés sur l'histoire d'un avion -qui plus est d'un hydravion- mais aussi de l'hydrobase de Biscarrosse et de la Ligne des Antilles, pour ne citer qu'elles.

(A. A. revue "Air et Cosmos" 8 septembre 2016)

Le livre est d'une qualité indéniable.

(Benjamin Torchio)

Ce magnifique travail publié par la DGAC nous conte la douloureuse histoire d'un projet grandiose qui a marqué son époque.

Magnifiquement illustré par de très nombreuses photos originales, le texte, dense et très documenté, de cet ouvrage nous éclaire sur l'histoire, riche et complexe, de l'exploitation de ces avions, dans des conditions que nous avons peine à imaginer aujourd'hui.

Pascal Parpaite a inclus dans son texte de multiples témoignages des différents personnels ayant travaillé à cette exploitation, tant au sol, dans les compagnies, l'administration, qu'à bord des Laté 631.

Un superbe ouvrage indispensable pour comprendre d'où est parti le le transport aérien après la 2° guerre mondiale, et mieux apprécier l'extraordinaire progression de ce mode de transport devenu, aujourd'hui, si sûr et si banal.

(Alain Rolland revue Pégase n° 162 septembre 2016)

 

Ancien radio d'Air France aux Hourtiquets en 1946 / 1947, le livre m'a vivement intéressé et m'a rappelé bien des souvenirs.

(Jean Desnoyers)

Malheureux geant des airs.

Voilà un ouvrage propre à nourrir les recherches d'historiens de l'aéronautique. Le Latécoère 6531 était un hydravion propulsé par six moteurs, construit comme un paquebot.

Mis en service en 1947 par Air France, il ne connut qu'une courte carrière, ponctuée d'accidents..

Il est illustré par une masse de documents, témoignages, compte-rendus et photographies. 

Presque trop pourra-t-in dire; le livre aurait mérité d'être un peu élagué.

Tel quel, il retrace l'existence d'un avion qui ne rehaussera pas la réputation des apareils Latécoère.

(Revue Piloter novembre 2016)

Quelle joie de feuilleter avec passion les premières pages de ce livre, je suis stupéfait par la densité photographique et illustrative de ce livre, quel travail, quelle recherche historique !!!!

(Alain Noulhiane)

J'ai bien reçu votre magnifique livre qui m'a été remis lors de mon passage à l'Aéro-club de France.

Très impressionnée par la richesse de votre documentation, je n'ai pas pu le consulter très longuement car mon mari semble l'apprécier beaucoup. 

Martine Simoneau (Association des hôtesses et convoyeuses de l’air)

Un rapide « survol » de celui-ci donne tout de suite une idée de la somme de travail de rédaction et de mise en page pour réaliser un tel ouvrage ...

Magnifique ! Quant à son contenu, je vais avoir le temps de le distiller car il y a beaucoup à apprendre. J’avais entendu parler de France Hydro, mais pas de la SEMAF.

D’après ce que je sais, le 631 méritait quelques points de développement avant d’être une machine totalement fiable. Il est vrai qu’à cette époque les hommes ne disposaient pas des outils actuels.

          Je vais donc avoir le plaisir de découvrir tout ceci ...

            (Gilbert Belloto ancien pilote A F)

En voilà une bonne idée : aborder le Latécoère 631 par le biais des hydrobases et des plans d’eau nécessaires à leur mise en œuvre.

Si l’appareil est plutôt bien connu, notamment avec le Docavia n°34 Latécoère, les avions et les hydravions et le n° 59 Les paquebots volants. Les hydravions français transocéaniques, tout ce qui l’entoure restait un peu en arrière-plan.

Et pourtant rien n’était possible sans des installations dédiées. Elles furent construites, mais trop tard. Les pistes en béton et les grands quadrimoteurs américains avaient irrémédiablement rendu obsolètes les hydravions transatlantiques. C’est ce dont il s’agit ici.

Le lecteur prendra certainement plaisir à découvrir le réseau mis en place pour les Laté 631, Biscarrosse en premier lieu, mais aussi toutes les bases en Afrique où l’appareil opéra jusqu’en 1955.

La mission Mémoire de l’aviation civile et l’association Mémoire de l’hydraviation invitent à redécouvrir le grand géant.

(FANA DE L’AVIATION n°565 décembre 2016)

C’est un travail remarquable qui couronne de belle manière vos années de recherches sur ce sujet qui vous passionne. Le grand nombre d’informations, de témoignages, la richesse des illustrations permettront aux habitants du secteur de Biscarrosse – Parentis de découvrir (ou redécouvrir) avec intérêt une part importante de leur patrimoine.

Félicitations pour ce véritable travail d’historien et merci d’avoir offert ces deux exemplaires à la commune de Parentis. 

(Christian Ernandorena Maire de Parentis)

J’ai bien reçu le livre.et l’ai parcouru et été impressionne par ce que j’ai vu. C’est un travail impressionnant de l’auteur. Bravo !

(Thibaud Malbrancq)

Veuillez accepter mes felicitations  pour la réussite de votre ouvrage  sur  le Latécoère 631.

Très heureux  de vous avoir communiqué ma petite participation.

(G. Souqui Fort de France)

Je  vous remercie pour l'ouvrage sur le Latécoère 631, qui m'a ramené dans les années 50; En vacances à St Brévin les Pins, je me délectais a voir un ou deux 631 à l'ancre de l'autre côté de la Loire, mais jamais en vol ...

(Olivier Collignon)

J'ai bien reçu le livre et vous en remercie vivement. J'ai déjà parcouru cet imposant ouvrage et je ne vois aucune critique de fond à formuler.

Je regrette cependant qu'il n'ait  pas bénéficié d'une couverture cartonnée.

(François Berthier)

Quel magnifique travail ! Quelle somme de travail réunie dans ce bouquin !

 J’ai énormément apprécié ce livre qui s’attache à tous les domaines de l’exploitation des Laté 631.

Parler de l’avion n’aurait pas suffit. Ici on découvre ce qu’était la vie du personnel attaché à son exploitation, les 3 sociétés qui ont tenté de l’exploiter et surtout le fonctionnement des hydrobases.

On pourrait penser qu’un hydravion évoluant sur l’eau, élément naturel que l’on trouve de partout irait dans le sens de la simplification de l’exploitation...La lecture de ce livre démontre avec beaucoup de finesse qu’il n’en est rien et explique en partie la disparition de ce type d’aéronef.

 Je voudrais parler de deux personnages cités dans le livre:

Les jumeaux Le Morvan.

 J’ai tout simplement été l’élève de Jojo Le Morvan !

Etant ancien élève du Centre d’Instruction de Vilgénis, au cours de la première année d’apprentissage nous avions quelques heures d’instruction de sous ensembles mécanique avion avec Jojo. Je me souviens de son franc parlé, de ses histoires d’hydro où les mécaniciens travaillaient avec leurs outils attachés aux poignets par des ficelles, aux caisses à outils des jeunes mécanos qui finissaient au fond de l’eau, l’été seulement...Il nous parlait un peu de son frère Gaston, mécanicien navigant qui avait disparu en mer, mais il restait discret et nous ne savions même pas que c’était avec un hydro...

Notre promotion (1966-1969) quitta le centre en juin de cette année 1969, Jojo Le Morvan s’en alla en retraite d’Air France au même moment.( Voir site Aviatechno qui parle de tout cela).

Les 50 anciens apprentis mécaniciens allaient vivre leur vie dans la compagnie, la grande majorité comme cadres technique, 3 comme Officier pilotes, 2 comme Officier Mécanicien Navigant, 7 comme Commandants de Bord, 2 devinrent médecins, si ! et un, parait-il, Officier Contrôleur de la Navigation Aérienne dont nous avons perdu la trace, (Patrice Silvagnoli).

De Jojo Le Morvan, nous en avons perdu également perdu la trace, une page s’est tournée, ainsi va la vie...

 Quand au Laté 631, beaucoup de choses à dire !

Tout d’abord il était beau . 

C’était en effet une machine exceptionnelle, surtout à l’époque de sa conception, ses capacités de chargement créaient un fossé gigantesque avec ses concurrents !

Malheureusement il était déservit par plusieurs choix techniques qui ont entrainé les pertes du FBDRE, FWANU et FBDRC...

La cause principale étant évidemment le flutter (très bien expliqué dans le bouquin), bien connu depuis la fin des années 20 (Couzinet 20), puis proto du Farman 221 (1934) , perte du Dewoitine 330 Emeraude (1934) et même les ailerons du DH 106 Comet se mirent à flotter dès le décollage du proto (1949)...

La répugnance des constructeurs à ajouter des masses d’équilibrages dans les gouvernes entrainèrent une trahison définitive de ces envions vis à vis de leur équipage.

Voir également à ce sujet l’excellent bouquin de Louis Bonte  ( l’histoire des essais en vol) et toutes les publications de Jacques Lecarme...

On peut également s’étonner des constructions Latécoère, Laté 300, 301,631, beaucoup ont bien mal terminées leur carrière, le constructeur n’avait pas beaucoup de chance avec ce qui touchait les hélices, réducteurs de Hispano et choix, peut être forcé des hélices Ratier, alors que les Hamilton Standard n’ont jamais posé de soucis.

Après avoir dévoré ce livre, je n’ai plus qu’une envie: aller sur le site de Biscarrosse , site chargé de l’histoire de ces machines et de ses hommes. Ce sera fait l’été prochain .

Encore bravo !

(Gilbert Bellotto)

La courte carrière commerciale (1945 - 1955) de cette légendaire machine conçue dans la seconde moitié des années trente et qui fut longtemps le plus gros avion français jamais construit. Emblème de la renaissance de l'aviation d'après-guerre, au destin contrarié par de nombreux accidents.

Beau travail de mémoire remarquablement documenté.

(Revue de l'Aé.C.F. Aéro-France décembre 2016)

Tout ce que vous voulez savoir sur les Latécoère 631

Magnifique ouvrage sur les derniers hydravions géants français…

Les Latécoère 631 n’auront réalisé qu’une courte carrière commerciale de 1945 à 1955 mais ces hydravions fascinent encore, pour plusieurs raisons. A l’époque, ce sont les plus gros avions en service au monde. Ils sont l’ultime aboutissement des hydravions géants, une des spécialités de l’industrie aéronautique française d’avant-guerre et que l’on a souvent oublié de nos jours… Les Latécoère hexamoteurs étaient aussi emblématiques de la renaissance de l’industrie française après la Libération.

C’est en 1937 que le ministère de l’Air a encouragé Latécoère a concevoir un tel appareil, avec réalisation d’une maquette de soufflerie de 10 m d’envergure « soufflée » à Chalais-Meudon. Construit à Toulouse, le prototype décolle pour la première fois en novembre 1942. Les essais se poursuivront après l’invasion de la zone libre par les Allemands. Avec le prototype du SNCASE SE-200, autre hydravion géant réquisitionné par l’Allemagne, le prototype du Laté 631 sera convoyé sur le lac de Constance pour y être… détruit par un raid de Mosquito de la Royal Air Force.

Un deuxième prototype, dont la construction a été entamée à Toulouse, va être caché dans la campagne, en éléments séparés. Ce n’est qu’après la fin de la guerre qu’il sera achevé pour mener ses essais en vol entre Biscarrosse et Marignane. Puis ce sera la construction de plusieurs appareils pour relancer rapidement le transport commercial…

Mais ces géants deviendront les derniers d’une lignée sans suite, détrônés – dès leur mise en exploitation par Air France sur la ligne des Antilles en 1947 – par les avions terrestres plus simples à exploiter sans parler de l’arrivée prochaine du réacteur qui enverra au musée tous les avions à piston lorsqu’il s’agit de transport de passagers sur longue distance. La « mise à l’écart » des quelques 631 produits sera également liée à des incidents et accidents tragiques.

Ainsi, sur les 11 hydravions construits à Biscarrosse, seulement quatre connaîtront une réelle utilisation commerciale, les autres servant aux essais en vol et à la mise au point, le dernier de la série ne sera jamais achevé dans son hangar… Tout un système avait été mis au point autour de ces appareils, avec transport des passagers par train jusqu’à Biscarrosse avec hôtel sur place avant de prendre place à bord et rejoindre les Antilles.

Les Laté 631 ont décroché quelques records du monde (distance, durée, vitesse) dont la plus longue liaison commerciale sans escale soit 4.700 km.

De cette aventure, il ne reste que quelques batîments, des slips le long du lac de Biscarrosse et des photos. Mécanicien aéronautique et pilote d’hydravion à Biscarrosse, Pascale Parpaite, durant plusieurs années, a rassemblé de nombreux documents et des témoignages d’acteurs de cette période. Avec l’aide de Gérard Bousquet, Henri Conan, Pierre Lauroua et Bruno Vielle et avec le soutien de Mémoire de l’Aviation civile, il a réalisé un ouvrage – conception graphique comprise – retraçant l’exploitation commerciale des Laté 631.

Il retrace ainsi dix années d’exploitation commerciale, liées à l’hydrobase de Biscarrosse et la ligne des Antilles, sans oublier l’exploitation par la Semaf puis par France-Hydro qui ont poursuivi l’activité après Air France. De multiples photos, schémas, documents agrémentent cette « brique » de 366 pages abondamment illustrées. Les hydrobases exploitées par les 631 sont passées en revue, des Hourtiquets à Port-Etienne, Fort-de-France, Douala, Léré ou Dakar. Les accidents qui ont jalonné la carrière des 631 sont détaillés avec l’aide des rapports des commissions d’enquête. La mise en ligne trop précipitée, faute d’une mise au point achevée, est soulignée.

Si le Laté 631 vous passionne, cet ouvrage – fruit de plusieurs années de recherche – est incontournable par la densité des informations qu’il contient, avec une riche iconographie issue des fonds du musée Air France, du musée de l’Hydraviation de Biscarrosse, de la Fondation Latécoère et de collections privées. 

(François Besse Aéro-VFR)

Un livre pour tout savoir sur le Latécoère 631

Présenté en mars au siège de la DGAC (direction générale de l’aviation civile), l’ouvrage « L’exploitation commerciale des Latécoère 631 » sera présenté demain par son auteur, Pascal Parpaite, au musée de l’Hydraviation. Passionné par tout ce qui touche à l’aéronautique à Biscarrosse, Pascal Parpaite n’en est pas à son premier livre puisqu’il avait déjà publié « Biscarrosse, mémoire du parachutisme civil ».

Cette fois, il a décidé d’évoquer l’appareil qui a initié les débuts du transport aérien de masse par Air France, le Latécoère 631, reliant Biscarrosse à Fort-de-France (Martinique), puis sa carrière d’avion-cargo. Beaucoup d’articles évoquent cet hydravion, mais sans vraiment approfondir le côté transport de passagers ou de fret. C’est pour cela que Pascal Parpaite a décidé d’évoquer cette partie méconnue de la vie de cet hydravion, de manière chronologique, grâce aux archives de l’aviation civile et au témoignage de quelques personnes ayant connu cet appareil.

Un hydravion d’exception

Le Latécoère 631 était donc le premier gros avion de ligne en service et était capable d’effectuer des longs vols sans escale. Ainsi, il pouvait relier Port-Étienne (Mauritanie) à Fort-de-France d’une seule traite. Toutefois, le voyage était inconfortable et surtout bruyant, l’hydravion ayant été mis en service sans que tous les détails ne soient réglés.

C’est donc toute l’histoire de cet hydravion qu’il est possible de suivre au fil des pages, ainsi que les raisons de l’arrêt de son utilisation par les compagnies aériennes. Il aura fallu une vingtaine d’années de collecte et trois ans pour écrire ce livre. Tiré à un millier d’exemplaires grâce à la mission de mémoire de l’aviation civile, l’ouvrage sera consultable dans les bibliothèques locales.

Une édition commerciale est à l’étude.

(Sud Ouest édition de Biscarrosse 2 septembre 2016)

 Félicitations pour le succès de votre ouvrage 

(Marie-Claire Coet -ONERA-)

Mes félicitations pour ce gros travail

(Jacques Martin)

Ouvrage retraçant en détail l'épopée de cet hydravion français, le plus gros appareil commercial en service au monde en &ç'è, au départ de l'hydrobase Air France de Biscarrosse vers les Antilles.

Malgré une courte carrière commerciale (AF, SEMAF, France Hydro), il représentait un défi industriel et d'exploitation.

Pascal Parpaite (association Mémoires de l'hydraviation) a relevé le défi avec cet ouvrage de référence, base de données unique.

Illustré de nombreuses photos (dont Musée AF), documents inédits d'une période oubliée marquant la fin des hydravions.

(Bernard Pourchet, dans Présence n° 186 -octobre 2016-, bulletin de l'ARAF, association des retraités du groupe Air France).

Avec tous mes remerciements pour ce que vous faites.

(Henry Foucard)

Le Latécoère 631 était l’un des deux projets d’hydravion transatlantique retenus par l’Etat suite au programme défini par le Ministère de l’Air en 1937.

Sa construction fut évidemment contrariée par la guerre.

Le premier prototype fut détruit en Allemagne lors d’une attaque aérienne alliée tandis que le second, caché en pièces détachées, ne fut assemblé et essayé qu’après le conflit.

Une dizaine d’exemplaires furent construits mais la carrière de ce géant fut ponctué d’incidents et d’accidents qui stoppèrent sa carrière dans l’aviation civile en 1955 .

Ce livre, qui peut sembler au départ un peu « brouillon », retrace leur carrière grâce à des témoignages des anecdotes recueillies sur les hydrobases et autres plans d’eau où passèrent les Laté 631 ; l’ensemble représentant un ouvrage très complet sur cette étonnante machine et tout ce qui entourait son exploitation à l’époque.

L’ouvrage est largement illustré et est très agréable à lire.

(revue Avions n° 215 janvier 2017)

Félicitations pour ce très beau travail !

(Philippe Rollin)

Ouvrage retraçant en détail l'épopée de cet hydravion français, le plus appareil commercial au monde en 1947 (ligne AF Biscarrosse - Antilles).

Malgré une courte carrière commerciale, il représentait un défi industriel.

Pascal Parpaite (association Mémoires de l'hydraviation) a relevé le défi avec cet ouvrage de référence.Illustré de nombreuses photos (dont Musée AF), documents inédits d'une période oubliée marquant la fin des hydravions.

(Lettre du Musée Air France n° 38,  janvier 2017)

Super bravo, quel travail !

J'ai beaucoup appris bien qu'après 20 ans de musée (à Biscarrosse)je pense savoir deux ou trois choses sur les hydros…

Quel dommage qu'un technicien/historien reconnu en France et ailleurs dans le monde soit resté dans l'ombre si longtemps…on peut se poser des questions….encore merci ...

(Bernard Daurat)

J'ai lu avec la plus grande passion ce livre de Pascal Parpaite. Ce fut mon livre de "chevet" pendant toutes les fêtes de fin d'année.

Livre que je trouve exceptionnel et talentueux sur tous les plans :

-rédactionnels

-illustrations et recherches photos pertinentes, rares, exhaustives,

-mise en page

-témoignages

-références techniques

-compte rendu accidents, recherche des causes

-annexes exhaustives et photogéniques.

Je possède des centaines de publications sur l'histoire technique et industrielle de l'aéronautique, ce livre

est dans doute l'un des plus élaboré, précis et complet de ma collection.

Il faut féliciter M.Parpaite : un très gros travail qui mérite toutes les considérations. Bravo, encore bravo !

Un seul regret, le titre du livre pas assez accrocheur et "marketing" à mon avis pour élargir le nombre de

lecteurs potentiels et susciter un engouement passionnel.

Titre technique, pas assez "vendeur", trop proche d'un rapport type remis au Ministère des transports que de la véritable image mythique et tragique que l'on peut transmettre de l'épopée humaine, technique, mondialiste d'un tel hydravion.

Il faut faire "vibrer" le lecteur dès l'accroche du titre, le dernier compte rendu sur le livre paru dans le" Fana de l'aviation" N° 565 de décembre 2016 tend à me conforter sur mon point de vue .

J'aurais aimé trouver dans son titre des mots tels légende, défi, mythe, mystère, coureur des mers......

Enfin, en ce qui me concerne, je suis fier de posséder ce livre, j'en parle autour de moi notamment auprès de jeunes pilotes d "EASY JET" qui découvrent cette aventure extraordinaire et dont ils n'ont pas malheureusement connaissance.

(Alain Noulhiane)

Je suis impressionné par la somme de recherches qu'il a du nécessiter et la quantité de documents publiés.

Mes félicitations à l'auteur et à votre association !

(Pierre-Yves Chanal)

Bel ouvrage !

(André Pibarot)

J’ai terminé la lecture de l’ouvrage de Pascal Parpaite. Je l’ai trouvé tellement passionnant et précis dans le détail que voulant revoir un point particulier de cette épopée, j’ai préféré le lire une deuxième fois.

Habitant la Martinique j’ai connu tout jeune le Laté, ainsi qu’on l’appelait, et aussi les Catalina… A travers l’ouvrage j’ai revécu une partie de mon enfance qui fut sans doute la plus riche.

Quel luxe de détails sur le plan technique et aussi anecdotique, une somme, que le journaliste et pilote que je suis, a pu apprécier à sa juste valeur.

En conclusion, un livre dont n’en trouve peu de cette qualité dans le domaine si varié et si complexe de l’aviation . Bravo Pascal !

 

(Eddy Edouard)

Cet ouvrage est superbe et très bien documenté. Fantastique travail de recherches et de collectes. 

Bravo à Monsieur Parpaite.

 

La partie consacrée au F-BDRE m’a apporté de précieuses informations. Je n’avais aucune connaissance de cette période. Mon père Raymond Ballet était radio naviguant et décédé lors de l'accident du dernier vol du Laté en Afrique.


Encore tous mes remerciements

 

 

 

(Alain Ballet)

 

 

J'ai commencé la lecture qui est très captivante. Il y a eu un travail de recherche impressionnant. Merci.

Superbe ouvrage. Qualité du livre irréprochable.  

(Bernard Bonin)

Je me suis plongé dans la lecture de cet ouvrage et n’en suis pas sorti avant la fin.

 

 

 

C’est vraiment une bible très complète sur ce sujet et on sent bien que la compagnie Air France ne voulait pas de cet hydravion qu’elle a exploité à contrecœur.

Ma mère a perdu un oncle dans le vol du Latécoère du 31 juillet 1948 entre Fort de France et Biscarrosse et j'ai longtemps entendu parler de cet hydravion dans lequel ma grand-mère et une de ses filles avait voyagé, fort heureusement pas le 31 juillet 1948.

Cet hydravion a marqué la Martinique et c'était une grande attraction que d'assister à son amerrissage et à surtout à son envol en baie de Fort de France.

 

Michel Cassius de Linval

 

 

 

J'ai bien reçu la deuxième édition du livre sur les Laté ; encore plus intéressant que la premiere , en particulier j'ai enfin trouvé une documentation sur le ber de ces hydravions .

Dommage que les photos et les schémas en soit trop petits , mais suffisant toutefois pour que je puisse en construire un pour la maquette du F. BDRE  que je suis en train de réaliser au 1/72 ieme.

Guy Lacoste

 Je vous félicite pour ce remarquable ouvrage.

Max de Richemond

Je savoure ce livre au fil des pages que je lis intégralement avec nostalgie !   

Félicitation pour le plaisir et l’émotion de votre ouvrage.

Michel Toulouse

Cet ouvrage est magnifique ; Il contient des tas de détails et de photos captivants sur les hydravions et le Laté 631 en particulier.   

Un grand merci  également pour les cartes postales, surtout celles qui montrent les 6 moteurs alignés en gros plan avec un mécanicien sur l' aile, ou le moteur en inspection ainsi que d' autres gros plans splendides.

La lecture du livre, elle se poursuit  dès que l' occasion se présente...il reste captivant tout au long des pages.

En ce qui me concerne , des pages imprimées sur fond blanc pourraient rendre une lecture plus aisée pour les personnes plus âgées , sans rien enlever à la qualité des informations.

Thomas Lefebvre.

Bien reçu ce magnifique ouvrage ainsi que les cartes postales. 
Il me parait riche, bien fait et très bien documenté.
Je sens que je vais me régaler.
Bravo à l'auteur.

Lionel Beaux-Duroy

Merci pour le document, je découvre cela avec intérêt, mon grand-père Gaston Le Morvan était officier mécanicien sur Laté 631.

Franck Dupé

C’est un très bon et beau livre.

 

Sébastien Menuet.

Beau livre bien documenté , c'est vraiment superbe .

Fabp37


 

J'ai hâte de voir cet ouvrage dont je rêve depuis longtemps ! 

 

Joël Pétetin 

Tous mes remerciements pour ce merveilleux livre qui retrace toute l’épopée des Laté 631. Je suis émotionné car sans le vouloir je fais partie de l’histoire de l’avion 631-07 F-BDRD. Mon père était dans cet avion quand il s’est écrasé le 21 février 1948, j’allais avoir 10 ans et à cet âge, j’avais l’espoir de le voir revenir. Avant de partir au Havre, il nous avait fait ses adieux, ma mère, mon frère et moi sur le palier. Je me rappelle guetter le fond de la rue attendant le retour....

 

Henri Etcheto.

Super, encore un grand merci pour ce que vous faite, de nous faire partager votre passion.

 

Philppe Roisine

 

Travail splendide de Pascal Parpaite.

 

Bruno Verschaeve

Ce livre présente pour moi un intérêt tout particulier puisqu'une de mes
tantes Yvonne Plantier, épouse d'un frère de mon père, est décédée dans
l'accident de Sambolobo. Elle était la fille du Docteur Jamot médecin
tropical au Cameroun et connu pour être le vainqueur de la maladie du
sommeil. Très jeune à l'époque je n'avais eu que peu d'explications sur
ce tragique accident... 

Alain Plantier

Mon père était pilote chez France Hydro, mais le 11 septembre 1955 il n'était pas abord du no 8 F-BDRE.
J'ai passé mon enfance à Biscarosse ou nous habitions avec la famille Demouveaux.
Tous les documents de cette époque ont malheureusement disparus. 

 

Patrick Rinaldi

J'ai lu quasiment d'une traite l'ouvrage sur le Laté 631.

Remarquable et passionnant.

C'est un excellent complément aux deux livres de Bruno Vielle.

A chaque fois que je suis en contact avec un de mes anciens collègues, j'en fait la promotion.

(Patrick Viau)

Très beaux livres passionnants

(Jacinthe Ayme)

J'en profite pour vous féliciter pour le livre sur l'exploitation commerciale des Latécoère 631 qui est magnifique

(Patrice Fromont)

Après avoir déviré les deux livres de Pascal Parpaite: Super travail de mémoire et cela m'a donné envie de revisiter le musée de l'hydraviation de Biscarosse, que j'avais visité en béotien il y a déjà plus de 20 ans.

Encore bravo !

(Patrick Degache)

La qualité de ce travail est exceptionnelle , allant beaucoup plus loin que tous les ouvrages précédents

écrits sur ce thème , encore une fois , beaucoup d'inédit et de détails jusqu' alors inconnus , remarquable .

(Philippe Vançon)

Je me suis plongé dans la lecture des livres concernant le Laté 631 riche de recherches de détails complémentaires plus grands ou des escales et des plans d'eau avec Google Maps.

Je dois dire que c'est une lecture absolument passionnante et prenante qui est tout à fait remarquable ! Une épopée incroyable, à peine imaginable tant les problèmes techniques ou politiques dans cette période de guerre ou d'après guerre sont détaillés avec un luxe de détails, une histoire dramatique hélas avec ces accidents dont l'origine est si bien décrite mais inconnue à la création de cet hydravion.

J'ajoute que bien que ni aviateur ni même de l'Aéronavale, il m'a été assez facile de suivre les explications fournies dans chaque chapitre, de façon dense mais claire et avec une documentation remarquablement fournie, un travail de romain !

Donc je vous remercie encore pour ces livres, je vous adresse aussi bien pour l'auteur Pascal Parpaite  toutes mes félicitations et l'immense satisfaction à la lecture de ce livre, un régal !

(Jacques Marquet)

Merci pour vos documents que j’ai reçus avec plaisir d’autant que j’ai toujours été fasciné par l’hydraviation et ce depuis mon enfance et aussi par mon séjour professionnel à Fort-de-France (1955/1957) au service de Air France sur le circuit des Antilles de Porto-Rico à Cayenne et parfois jusqu’à Miami avec base à FdF.

Agé aujourd’hui de 85 ans, vos travaux me font revivre ma jeunesse et je vous en sais gré. Tous mes vœux vous accompagnent dans votre œuvre de mémoire

(Lucien Jany)

J'ai bien apprécié "L'exploitation commerciale des Latécoère 631" et vais découvrir "La courte vie du F-BDRC"

(Jean-Pierre Agenès)

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Published by flying boat

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